Duo funambule initiatique (violon, guitare baryton électrique , boite à rythme et deux chants) crée en 2008, ZATO puise dans les racines du folk, du post-rock et du trip-hop pour proposer un indie-rock sombre, onirique et minimaliste. Le groupe évolue depuis peu sur scène en trio avec le batteur Fred Masson.
« Broken Faces« , cinquième opus du duo, sortira le 12 novembre 2022 sous le label OSTOrecords. Il a été réalisé avec la complicité de l’artiste mâconnais Vitterbo ( mise en son et artwork).
DISCOGRAPHIE
● 2022 – ! Nouvel album BROKEN FACES dispo le 12 novembre 2022 !
● 2021 – Live Session @ Cavazik
● 2020 – Quarterback (single)
● 2020 – Broken Faces @ Les Abattoirs (single)
● 2017 – Je me souviens, Songs from Quebec (bande originale film)
● 2015 – Black Is The Light (album)
« Un album à venir en 2021 pour Zato. En attendant vous pouvez les découvrir avec ce Quarterback sorti il y a quelques semaines. Un son lourd et puissant qui n’est pas sans rappeler les productions canadiennes du label Constellations ! Rien que ça !! » Le Cargo
« “Quarterback”, nouvel extrait de leur futur album “Broken faces”, agit de la sorte, conjuguant puissance et douceur et s’écoute autant qu’il se contemple, avec un clip digne d’un court-métrage.Déroutant l’indie-rock, ce duo entre minimalisme et profondeur onirique, marie formidablement les sonorités et les âmes. » LACN
« Si l’on veut s’émanciper, il faut se donner entièrement au malheur, l’éprouver, l’affronter. « Quarterback » transforme la lenteur de sa mise en scène en un redoutable suspense dont il est impossible de décoller nos rétines, tandis que notre souffle se coupe sans que nous puissions nous en rendre compte. Suivez les contes de la folie ordinaire de ZATO sur leurs pages FACEBOOK et INSTAGRAM » 4 janvier 2021 par Raphaël DUPREZ Punktum
« Le duo français nous sert une puissante chanson rock aux fioritures synthétiques plus près du Trip-Hop pour sa sonorité qui incorpore l’électronique avec brio. L’approche lyrique d’une rare intensité rappelle un peu le Post-Punk à la manière d’Efrim Menuck (Thee Silver Mt. Zion) pour l’aspect viscéral de l’interprétation vocale. L’intensité est au rendez-vous, autant musicalement que sur ce clip rempli de scènes à la fois troublantes et d’une grande beauté » . Boulimique de Musique
« …équilibre parfait entre puissance et douceur, rudesse et délicatesse, froideur intense et chaleur moite. Nul gras, nul effet, inutile, juste la redoutable efficacité d’un titre qui prend son temps (un peu plus de 5 minutes 30, chose assez rare ces temps-ci pour être soulignée et applaudie) pour installer une atmosphère poisseuse à souhait et nous plonger tout habillés dans ce bain abrasif qui fait un bien fou. Et comme, cerise sur le gâteau, ils ont la bonne idée de servir tout ça accompagné d’un clip sublime, ambitieux court-métrage peuplé de références au cinéma que l’on adore, on ne peut que se réjouir d’accueillir une nouvelle fois Zato dans nos pages… en attendant cet album à venir qui devrait sans nul doute nous procurer de sublimes sensations… » B#Aware
« … Broken Faces » de ZATO fascine par sa splendide nudité, par la diffusion cinématographique et mentale de ses interprètes, par la troublante évocation de ces formes que l’on distingue sans les interpréter. La fascination pure et simple du dépouillement et d’une mise en scène hantée et ténébreuse... Rares sont les démonstrations introspectives aussi puissantes que celle que nous offre ZATO … ZATO parle le langage des âmes … Derrière les masques de la souffrance et de l’angoisse, il y a une vie, mouvementée certes, terrible parfois, mais tellement belle et puissante. ZATO lui insuffle une raison d’être, éprouvante et extraordinaire…. »
PUNKTUM-Raphael Duprez-05/05/2020
« A 5-minute slow-burner by French oufit ZATO with their stunning mix of post-rock, trip-hop and folk »
LastDayDeaf- 06/05/2020
« Ce n’est pas à l’habituel 21h30 que la soirée a débuté mais 1h plus tôt avec le projet mâconnais Zato. Le duo folk indé était de retour sous la voûte après un passage en 2013 lors des Apéros dans la Cour. C’est dans une ambiance intimiste, qu’a été présenté « Black is the Light », leur nouvel album 8 titres enfin disponible en version physique. Dans la pénombre, le son de la guitare saturée se fait accompagner par celui du violon pendant que deux voix se marient et emportent le public dans leur univers. Un joli moment fortement agréable : n’hésitez pas à jeter une oreille à ce nouveau projet ! » Fabien Dubois, La Scène Maconnaise, avril 2016
« De la guitare acoustique, quelques notes de basse, des voix claires, la formule est en théorie simple et efficace. Céline et Alex de Zato l’ont compris, et nous le font savoir avec leur premier album « On My Knees ». Cette galette comporte dix titres, 7 sont chantés en francais et 3 sont en anglais, dont le titre éponyme « On my knees ». Les guitares rappellent Neil Young, les mélodies apaisent, l’album est planant et enivrant. Les quelques instruments additifs (violon, guitare éléctrique, percussions, bits…) soigneusement enregistrés par les deux multi-instrumentistes aident à parfaire la diversité des ambiances, tantôt calmes, tantôt puissantes et profondes. L’album coule ainsi jusqu’à l’époustouflant titre « Shine », clôturant l’album. Ce second texte écrit dans la langue des Beatles nous laisse entendre que la folk est et restera britannique ! Soulignant les mélodies, appelant les choeurs et harmonies vocales et révélant une réelle force de composition habitée, l’anglais leur va comme un gant ! Après l’écoute de cet album, on se rend bien compte que les deux compères savent de quoi ils jouent tant l’album est homogène. Mais, afin d’harmoniser cette ambiance qui leur est si propre, il reste au duo Mâconnais un choix à faire : le français ou l’anglais. Donc à vos Myspaces,pour guetter l’arrivée de leurs prochains titres ! » Lucas, Webzine La Scène Bourguignonne, juin 2010

« Black is the Light » – Le film
« Pitch » :
« Un couple de Français arrive à Québec. Anna, brillante universitaire, vient d’y obtenir une chaire. Sam, lui, la suit pour sa semaine d’installation. C’est un scénariste de reality-show à la dérive, conscient d’avoir galvaudé sa créativité pour de l’alimentaire. Québec, terre d’envol pour Anna, devient une plage où s’échoue Sam. Baigné par une musique enregistrée et jouée par les deux acteurs, ce film en abyme, tourné en 9 jours, développe une approche sensible autour des thèmes du couple, de la solitude et de la création. »
» Formellement nous voulions faire un film « musical », un film où la musique tiendrait évidemment un rôle majeur, mais nous voulions éviter l’écueil (le déjà fait-déjà vu) du road movie d’un groupe en tournée , avec les images de loges, de scènes, de quelques rencontres, de vie à l’hôtel.Nous voulions un film narratif, qui puisse utiliser la puissance évocatrice du monde musical mais créer un univers expressif propre. Black is the Light-le film a été envisagé dès le départ sous cet angle particulier. »























